Centre d'interprétation du milieu écologique du Haut-Richelieu
Les espèces exotiques envahissantes (EEE)
Qu’est-ce qu’une espèce exotique envahissante (EEE)
Une espèce est considérée exotique lorsqu’elle est introduite hors de son aire de répartition naturelle. Elle est jugée envahissante lorsque sa propagation menace l’environnement, la société ou l’économie.
Une menace à la biodiversité Selon l’ONU, les espèces exotiques envahissantes sont la 2e cause de perte de biodiversité sur la planète.
Dans le cadre de ses projets d’inventaires et de suivis d’espèces en péril, CIME s’est intéressé plus particulièrement à la présence de plantes exotiques envahissantes (PEE) sur le territoire de la MRC du Haut-Richelieu et dans quelques milieux naturels limitrophes. Ces PEE ont généralement une croissance rapide et une capacité de reproduction exceptionnelle, elles exercent donc une forte compétition sur les espèces indigènes, dont elles finissent par prendre la place. CIME a produit une fiche qui présente les six PEE le plus souvent observées dans le Haut-Richelieu ou qui représentent une menace importante pour les milieux naturels. Télécharger la fiche sur les PEE du Haut-Richelieu.
Des actions sur le terrain
Dès le début des années 2000, CIME s’implique dans la lutte aux PEE en initiant un projet de contrôle de la châtaigne d’eau dans le Haut-Richelieu. À cette époque, cette plante aquatique avait envahi les marais de la rivière du Sud et menaçait grandement le Richelieu. Sensibilisés à l’urgence de la situation par CIME, plusieurs partenaires ont uni leurs forces pour lutter contre l’expansion de cette espèce : gouvernement du Québec, Canards Illimités Canada, la MRC du Haut-Richelieu et ses municipalités et CIME. Les efforts déployés depuis 2001 ont permis de contrôler et de faire régresser la châtaigne et d’ainsi protéger des milieux naturels aquatiques d’importance dans le sud du Québec (rivière du Sud, rivière Richelieu, lac Saint-Pierre). Télécharger le dépliant Alerte à la châtaigne d’eau.
Depuis quelques années, CIME met en œuvre des actions de gestion de PEE pour protéger d’autres milieux naturels.
Le coût du camp est de 183,00 $ pour une semaine .
Un rabais de 10,00 $ est accordé pour l’inscription à une 2e semaine.
Le coût du camp inclut des frais d’inscription non-remboursables de 15,00 $.
Toute annulation effectuée a vant le 1 er mai donne droit au remboursement du coût du camp, moins les frais d’inscription de 15,00 $.
Entre le 1 er mai et le dé but du camp, en cas d’annulation , le remboursement sera de 84,00 $ (pour 1 semaine) ou de 158 ,00 $ (pour 2 semaines).
Aucun remboursement à partir de la première journée du camp, sauf en cas de maladie ou d’accident (papier du médecin).
Faire un don
Complétez le formulaire à télécharger et faites le parvenir à CIME par courriel ou par la poste au: 16, chemin du Sous-Bois, mont-Saint-Grégoire (QC) J0J 1K0
Faites un chèque à l’ordre de CIME Haut-Richelieu et postez-le OU faites votre don par PAYPAL
Les espèces exotiques envahissantes (EEE)
Qu’est-ce qu’une espèce exotique envahissante (EEE)
Une espèce est considérée exotique lorsqu’elle est introduite hors de son aire de répartition naturelle. Elle est jugée envahissante lorsque sa propagation menace l’environnement, la société ou l’économie.
Une menace à la biodiversité
Selon l’ONU, les espèces exotiques envahissantes sont la 2e cause de perte de biodiversité sur la planète.
Dans le cadre de ses projets d’inventaires et de suivis d’espèces en péril, CIME s’est intéressé plus particulièrement à la présence de plantes exotiques envahissantes (PEE) sur le territoire de la MRC du Haut-Richelieu et dans quelques milieux naturels limitrophes. Ces PEE ont généralement une croissance rapide et une capacité de reproduction exceptionnelle, elles exercent donc une forte compétition sur les espèces indigènes, dont elles finissent par prendre la place. CIME a produit une fiche qui présente les six PEE le plus souvent observées dans le Haut-Richelieu ou qui représentent une menace importante pour les milieux naturels. Télécharger la fiche sur les PEE du Haut-Richelieu.
Des actions sur le terrain
Dès le début des années 2000, CIME s’implique dans la lutte aux PEE en initiant un projet de contrôle de la châtaigne d’eau dans le Haut-Richelieu. À cette époque, cette plante aquatique avait envahi les marais de la rivière du Sud et menaçait grandement le Richelieu. Sensibilisés à l’urgence de la situation par CIME, plusieurs partenaires ont uni leurs forces pour lutter contre l’expansion de cette espèce : gouvernement du Québec, Canards Illimités Canada, la MRC du Haut-Richelieu et ses municipalités et CIME. Les efforts déployés depuis 2001 ont permis de contrôler et de faire régresser la châtaigne et d’ainsi protéger des milieux naturels aquatiques d’importance dans le sud du Québec (rivière du Sud, rivière Richelieu, lac Saint-Pierre). Télécharger le dépliant Alerte à la châtaigne d’eau.
Depuis quelques années, CIME met en œuvre des actions de gestion de PEE pour protéger d’autres milieux naturels.